Je viens de lire d’affiler deux livres de Cuelho et ce malgré les a priori que j’avais à son égard. Le côté léger et un peu simpliste de ses bouquins m’ont en fin de compte assez plu. Ils sont tombés à point nommé et ont ouvert mes petits yeux sur certains vieux démons et quelques fascinations déplacées (qu’ils/elles soient à moi ou non). Comme dit dans le titre : Cuehlo, Van Damme, même combat. Parce que la morale de leur(s) histoire(s) est qu’il faut « croiver » dans ses rêves. ^^