Si le divin est partout, je sais alors que les situations, les évènements, ne surviennent pas dans ma vie par hasard.
Dès lors, je peux décider soit de me laisser happer par mes propres ténèbres, et accessoirement celles des autres (à vrai dire celles-ci n’ont de sens que si elles font écho en moi), soit de concentrer mon attention sur la lumière émergente personnelle, et accessoirement extérieure.
Quand je fais ce dernier choix, je peux sentir ce feu intérieur, divin, qui diffuse lentement dans mon corps, mon esprit et mon âme sa douce chaleur bienfaisante… Pour enfin se distiller dans ma vie extérieure et faire fleurir mon propre printemps.
Quand je me tourne vers cette lumière, j’ai la capacité de voir à mes pieds un tapis de joyaux inestimables, qui en réalité a toujours été là. Quand je prends conscience de ma propre lumière, j’ai enfin la possibilité de voir le divin dans le monde, qui peut se traduire par l’amour, la générosité et la bienveillance des êtres qui nous sont chers.
Je peux alors remercier le divin sous toutes ses formes, la dualité, la pulsion de vie, la pulsion de mort et cette grande bénédiction qu’est le libre arbitre qui en découle. Et de fait l’incommensurable générosité des dieux.
Bénédictions !